Librement inspiré de son récit autobiographique L’Università di Rebibbia, ce film en Compétition prend place dans les années 1980 et raconte l’expérience carcérale cathartique vécue par l’autrice de L’Art de la joie, incarnée avec panache par Valeria Golino.
Je dois dire que je suis plutôt passée à côté de ce film qui ne m’a pas procuré de réelles sensations ni un quelconque intérêt.
Dit comme cela, j’ai bien conscience que c’est dur.
Si je reconnais à Valeria Golina le charme qui est le sien, rien de cette histoire ne m’a happé. Et je me suis même arrêtée à des détails inutiles du film comme le fait que l’actrice principale porte à sa bouche une tasse de café… sans café. Pour vous dire vers quel type de vécu inutile le film m’a dirigé.
Pour moi, le réalisme n’était pas au rendez-vous. Un peu plus d’incarnation m’aurait plu.
